“A Very Eye” de Tumbleweed @ Le Pavillon, Romainville
Dans le cadre des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
Le Pavillon
28 Av. Paul Vaillant Couturier, 93230 Romainville
création 2022 · première en France
concept et chorégraphie Angela Rabaglio et Micaël Florentz
création et interprétation Charlie Prince, Sergi Parés, Jeanne Colin, Mona Felah, Christine Daigle, Angela Rabaglio, Micaël Florentz
création lumière et scénographie Arnaud Gerniers
création sonore Anne Lepère, regards extérieurs Melissa Rondeau, Esse Vanderbruggen, Christine Daigle, costumes Mélanie Duchanoy
recherche TingAn Ying (danse), Olivier Hespel (dramaturgie)
stage Dounia Dolbec, Nathan Bourdon, diffusion et communication Quentin Legrand (Rue Branly)
production Tumbleweed
co-productions Charleroi Danse - Centre chorégraphique de Wallonie-Bruxelles (BE), Les Brigittines - Playhouse for Movement Bruxelles (BE), CCN2 - Centre chorégraphique national de Grenoble (FR), CCNT - Centre chorégraphique national de Tours (FR), POLE-SUD - Centre de Développement Chorégraphique National Strasbourg (FR), Cultuurcentrum Brugge (BE)
partenaires de résidence Dansateliers Rotterdam (NL), Grand Studio (BE), Summerstudios Parts (BE), Garage29 (B), Tanzhaus Zuerich (CH), Choreographisches Centrum Heidelberg (DE), Le Gymnase - Centre de développement chorégraphique national Roubaix (FR), Kanal workroom (BE), de Warande (BE), TROIS C-L (LU), Materiais Diversos (PT), Estúdios Victor Córdon (PT), l’Abri Genève (CH), Onassis Stegi (GR)
avec le soutien de Fédération Wallonie-Bruxelles Service Générale de la Création Artistique - Service de la Danse, Wallonie-Bruxelles Internationale, Dansateliers Rotterdam (NL), SACD, WBTD, Grand Studio et Réseau Grand Luxe 2021/22
A Very Eye rappelle la magnificence de la collectivité, fait apparaître la foule sous une autre lumière pour tenter d’en dévoiler la beauté et la force. Parfois intégrés, parfois arrachés au mouvement commun durant la représentation, les danseur·euse·s contribuent en alternance, mais collectivement, à ce que celui-ci perdure. L’idée est de voir émerger, comme une image imprimée sur une bande passante, le visage multiple de la collectivité, un ADN en constante reconstruction.