Du 22 mai au 15 juin 2025

153 Avenue Jean Jaurès,
93300 Aubervilliers

Le travail d’Edith Dekyndt a été représenté par le Centre en 2023 dans Les Heures Sauvages #2 en Cyberespace # 25 Arts Seconde (Commissariat : Andy Rankin) et en 2019 dans l’exposition Signal – Espace(s) réciproque(s) (Commissariat : Lola Meotti & Aurélie Faure), Hors-Les-murs Satellite du Centre à la Friche la Belle de Mai à Marseille.

Edith Dekyndt est née en 1960 à Ypres en Belgique. Elle vit et travaille à Bruxelles et à Berlin. Elle est représentée par la Galerie Greta Meert à Bruxelles, la Galerie Carl Freedman à Margate (UK), la Galerie Konrad Fischer à Berlin et la Galerie Karin Guenther, Hambourg. Le travail d’Edith Dekyndt a été exposé dans des institutions et expositions internationales.

Ses œuvres sont présentes dans des collections publiques et privées telles que le Centre Pompidou, Moma (New York), Köln Skulptur Park (Allemagne), Crandford Collection (Londres), Albright-Knox Collection (New York), Centre national des arts plastiques (Paris), Fondation Pinault (France), Buffalo Museum, USA, Cadic Collection (Pays-Bas), FRAC Picardie, Lorraine, Bretagne, Pays de la Loire, Alsace, Franche Comté et Réunion (France), Province du Hainaut, Collection Fédération Wallonie-Bruxelles et la Collection d’art flamand en Belgique.

Edith Dekyndt a été artiste en résidence au Banff Centre for Arts, Canada, 2004, University of Manitoba, Winnipeg, Canada, 2006, Program Gallery, Berlin, 2007, Frac Réunion, France, 2009, University of Nijmegen, Netherland, 2011, Université de Hasselt, 2012, Akumal Artist Residency, Mexique, 2012 Ne’-Na Artspace, Chiang Mai, Thaïlande, 2013 et 2014, DAAD Künstlerprogramm, Berlin, 2015-2016, Fondation Pinault, Lens, 2017. En 2019, elle reçoit le Prix d’art Finkenwerder.

minimal, minimal, dernière exposition sous la Coupole à Aubervilliers, réunit 24 artistes autour d’une réflexion sensible et radicale sur le dépouillement, la trace et les objets manufacturés chargés d’histoires. Après plusieurs expositions abordant des sujets essentiels et nécessaires, minimal, minimal se veut comme une invitation à déplacer son regard vers les formes discrètes et les gestes silencieux qui, eux aussi, témoignent du monde à leur manière. Imaginée par Yvannoé Kruger, minimal, minimal propose un dialogue où des formes simples, des gestes discrets et des matériaux familiers sont investis d’une présence nouvelle et d’une tension poétique particulière. Ce n’est ni un hommage, ni une nostalgie, mais un étrange rappel : quelque chose de brut, de subtil, parfois mélancolique, surgit de l’économie de moyens adoptée par les artistes.

Avec Giorgio Andreotta-Calò, Mathilde Albouy, Estèla Alliaud, Dana-Fiona Armour, Tarek Atoui & Invisible Mountain, Laëtitia Badaut Haussmann, Sami Benhadj Djilali, Alix Boillot, Edith Dekyndt, Florence Jung, Alexandre Khondji, Marie Matusz, Nicolas Momein, Jack O’Brien, Frank Perrin, Enrique Ramirez, Luca Resta, Winnie Mo Rielly, Laura Sellies, Ser Serpas, Kirill Savchenkov, Anna Solal, Erwan Sene, Ayman Zedani

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et du Centre, l’artiste Edith DEKYNDT présente son installation « One thousand and one nights », dans l’exposition collective « minimal, minimal ».
Cette exposition convoque des artistes contemporains qui privilégient une esthétique épurée et radicale, une économie de moyens qui n’est pas sans rappeler les tendances du courant minimaliste des années 60. Mais ce n’est pas un revival, c’est un déplacement.

« One thousand and one nights » - 2017
Exposition « Ombre indigène » 2016, Centre d’art contemporain WIELS, Bruxelles (Belgique)

Un tapis de poussière, collectée dans l’espace d’exposition, est placé sous un projecteur. Le faisceau épouse parfaitement ses contours. À intervalle régulier, le projecteur se déplace légèrement sur son axe. Une personne vient alors délicatement balayer le sol, pour que le carré de poussière se confonde à nouveau avec le carré de lumière.

Edith Dekyndt est une artiste belge née en 1960. Son travail s’attache à faire image avec les phénomènes les plus fugaces, les plus volatils, témoignant d’une grande économie de moyens et de gestes. Ainsi, elle investit souvent les lieux d’expositions avec les substances et les souvenirs qui leur sont propres. La durée, synonyme de transformation et d’interaction entre les éléments qu’elle combine, constitue l’un des matériaux de prédilection d’une œuvre processuelle, dont l’humilité confine au sublime. « One thousand and one nights » a été conçue à l’occasion de la rétrospective de l’artiste au Wiels, à Bruxelles en 2016. L’installation a été montrée à nouveau durant la biennale de Venise en 2017, au sein de l’exposition « Viva Arte, Viva ». Elle est activée, pour la première fois en France, pour « Trois fois rien » au CND en mars 2019.

Œuvre à protocole
Dimensions variables
Achat à la Galerie Greta Meert en 2018

minimal, minimal

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