La Fracture de Yasmine Yahiatène au Théâtre Louis Aragon, Tremblay-en-France #Impatience
Théâtre Louis Aragon
24 Bd de l’Hôtel de ville, 93290 Tremblay-en-France
→ durée : 55 min - dès 13 ans
Plasticienne, vidéaste et performeuse, Yasmine Yahiatène est une artiste pluridisciplinaire formée à l’Académie des Beaux-Arts de Tournai, à l’Université des Beaux-Arts de Valence en Espagne ainsi qu’aux Rencontres Audiovisuelles de Lille. Les thématiques de l’adaptation et du changement sont les sujets principaux de ses productions qu’elle met au service d’un discours social et humaniste.
Distribution
conception et interprétation : Yasmine Yahiatene
dramaturgie et co-conception : Sarah-Lise Maufroy Salomon
collaboration artistique et co-conception : Zoé Janssens et Olivia Smets
création vidéo : Samy Barras
création sonore : Jérémy David
création lumière : Charlotte Ducousso
photographe : Pauline Vanden Neste
Production délégué : atelier 210
Coproduction et copresentation : Kaaitheatre
En coproduction avec Buda (coutrai), Little Big Horn asbl, la Coop asbl et Shelter prod.
Avec le soutien de : la Fédération Wallonie Bruxelles (Bruxelles), Pianofabriek (Bruxelles), Citylab(Bruxelles), Darna asbl (Bruxelles), Ville de Bruxelles (Bourse Kangoroe), Centre Wallonie Bruxelles (Paris), Montevideo, centre d’art, (Marseille), Espace Senghor (Bruxelles), Cie L’hiver nu (Mende), Le Sillon Lauze (Marvejols), de taxshelter‧be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge
Un jour, Yasmine Yahiatène a décidé de ne plus voir son père, malade de l’alcool, pour se protéger et se reconstruire. Après l’avoir gommé de sa mémoire, elle convoque aujourd’hui le souvenir de cet homme kabyle, qui porte un peu de l’histoire de la colonisation. Avec La Fracture, elle raconte son parcours pour comprendre et embrasser cet héritage.
À l’origine de la pièce, il y a sa collection de vidéos, archives, photos et sons, que l’artiste pluridisciplinaire et les personnes avec qui elle collabore utilisent pour expérimenter et incarner sa propre histoire. Sur scène, les images sont transformées et revisitées, instillant un peu de fiction au fil des souvenirs. La vidéo est une partenaire de jeu qui permet à Yasmine Yahiatène d’être économe de ses mots pour privilégier le sensible et l’émotion.