Soirée rhizomique Wooshing Machine #Festival Faits d’Hiver
Soirée rhizomique “Ma l’amor mio non muore” / Épilogue – dans le cadre du Festival Faits d’Hiver. Alessandro Bernardeschi, Carlotta Sagna, Mauro Paccagnella. Suivi d’un DJ set avec Vincent Epplay et Stéphane Broc
Tarifs : 10€, 8€ (réduit)
Théâtre
46 rue Quincampoix 75004, Paris
Durée : 65 min
Sur une idée d’Alessandro Bernardeschi
Chorégraphie, écriture et interprétation : Carlotta Sagna, Alessandro Bernardeschi & Mauro Paccagnella
Dramaturgie musicale : Alessandro Bernardeschi
Lumières et régie : Simon Stenmans
Assistanat à la chorégraphie : Lisa Gunstone
Vidéo : Stéphane Broc
Son : Eric Ronsse
Costumes : Wooshing Machine & Fabienne Damiean
Featuring : Pietro Ercolino
Production : Wooshing Machine
Coproduction : Théâtre National de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Charleroi danse – Centre Chorégraphique de la FWB, Les Brigittines
Accueil studio : Studio Thor, Studio Étangs Noirs, Charleroi danse, Les Brigittines
Avec le soutien du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service de la danse) et de la Communauté française
Fondée à Bruxelles en 1998 par Mauro Paccagnella, la Compagnie Wooshing Machine est un collectif d’artistes qui explore des formes scéniques hybrides mêlant danse, théâtre, arts visuels et musique. À la croisée de l’intime et du politique, elle invente un langage sensible et polymorphe où le corps devient espace de récit, de rencontre et de transformation.
Danseur et chorégraphe, figure vibrante et atypique, il porte une vision où les arts se réinventent dans une synthèse joyeuse et généreuse. Son travail, en constante métamorphose, dévoile des fragments de vies ordinaires et extraordinaires, où se croisent engagement, virtuosité, fragilité, humour, décrochages et fulgurances. Observateur attentif des contextes, il révèle les nombreuses stratifications de sens qui nourrissent l’œuvre collective et ouvre sans cesse de nouveaux possibles.
Le Centre entretient depuis plusieurs années une relation étroite avec le festival Faits d’Hiver. Ces éditions, le festival, en synergie avec le Centre a accueilli des créateur·rices de la scène chorégraphique belge, parmi lesquels Les Mossoux-Bonté, Erika Zueneli ou encore Léa Vinette.
L’édition 2026 donner à prolonger ces synergies et s’ancre autour de la programmation de Erika Zueneli, Mohamed Toukabri et Léa Vinette. Au sein du festival et de Whosshing Marchine accueilli au Centre et ce pour une soirée dite Rhizomique qui donne à l’artiste invité.e la possibilité qu’il.elle programme un.e artiste avec le.a.quel.le. il développe des connexions artistiques.
Mauro Paccagnella et le collectif Wooshing Machine furent les protagonistes de précédentes Saisons du Centre. Dans le cadre de la saison Fractale _ Visions Parallaxes (2021), le Centre a accueilli Closing Party & Benche Party, une soirée performative portée par Mauro Paccagnella et Alessandro Bernardeschi
A la faveur de la saison 2020, le Centre avait consacré au collectif une Carte blanche intitulée DELUXXIII, Ce FOCUS s’inscrivait dans la continuité d’un travail amorcé avec le Non-Creative Factory, projet de Mauro Paccagnella qui interrogeait avec humour et décalage les processus créatifs, la productivité et la résistance joyeuse des corps.
Ma l’amor mio non muore / Épilogue
Poésie et humour à l’œuvre dans ce dernier volet de la trilogie Wooshing Machine
Alessandro Bernardeschi et Mauro Paccagnella — duo d’Italiens un peu belges — et Carlotta Sagna — Italienne un peu française — n’ont jamais manqué d’humour. Ils jouent ici avec l’idée du retour, de la tournée d’adieu, de la “der des der”, dans une mise en abyme jubilatoire du temps qui passe.
Après leur Trilogie de la Mémoire, centrée sur leurs parcours artistiques et l’histoire des corps en scène, Épilogue introduit une nouvelle interprète et poursuit ce tissage de récits sensibles. Le spectacle traverse une mosaïque d’émotions : partager, raconter, rire, raviver la joie, la gravité, la malice… Une commedia dell’arte sans masque et sans fard, ardente, vive, qui regarde le public droit dans les yeux.
