Earths de Louise Vanneste #June Events
En coréalisation entre le Centre Wallonie Bruxelles Paris et le L’Atelier de Paris, le Festival June Events soutien les artistes de la Fédération Wallonie Bruxelles.
Atelier de Paris / CDCN
Cartoucherie, 2 Route du Champ de Manœuvre, 75012 Paris
Après une formation en danse classique, Louise Vanneste se dirige vers la danse contemporaine et entre à P.A.R.T.S. dont elle est diplômée. Une bourse de la Fondation SPES (Be) lui permet ensuite de poursuivre sa formation à New York, notamment au sein de la Trisha Brown Dance Company.
Au sein de Rising Horses, elle développe un travail chorégraphique en étroite collaboration avec des artistes issus d’autres disciplines que la danse : Cédric Dambrain pour la musique, Stéphane Broc pour la vidéo, l’artistes plasticien et éclairagiste Arnaud Gerniers ou encore Gwendoline Robin et Elise Peroï pour la performance et le textile.
Outre ses projets sur scène, elle développe un travail d’installations vidéo (SK, Going West, #1, …).
Concept & chorégraphie : Louise Vanneste
Chorégraphie & danse : Paula Almiron, Amandine Laval, Léa Vinette, Castelie Yalombo
Dramaturgie : Sara Vanderieck. Son : Cédric Dambrain. Scénographie & éclairage : Arnaud Gerniers
Regard extérieur : Anja Röttgerkamp. Costumes : Jennifer Defays et réalisation des costumes par l’Atelier de costume du théâtre de Liège
Production & diffusion : Alix Sarrade (Alma Office). Administration : Gabriel Nahoum
Une production de Rising Horses.
En coproduction avec Charleroi danse, DC&J Création, les Halles de Schaerbeek et le Théâtre de Liège.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Loterie Nationale et du Tax Shelter du Gouvernement
Fédéral de Belgique et d’Inver Tax Shelter.
Avec Earths, Louise Vanneste invite ses collaboratrices danseuses à se débarrasser d’une volonté de construction du mouvement au profit d’une écoute de l’imaginaire et de l’espace environnant. Elles cherchent une gestuelle brute et intuitive dotée d’une qualité de mouvement précise dans un langage et une écriture directe. Le choix d’une écriture chorégraphique qui suit les matières-flux et se distancie des matières-formes se fait au profit d’une écoute sensorielle. Louise Vanneste tend à reconsidérer certaines fonctions dites en diminution chez l’humain telles que l’odorat, la sensibilité aux vibrations, et autres perceptions sensorielles comme les courants électriques.
